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Virginia Victoria ne partira pas sans toi

Où comment l'espoir a appris à sortir du noir sans trop y croire

Par Mac Guffin Kollectif

 

 

 

Mercredi 7 février -  20h30
Jeudi 8 février -  20h30

Vendredi 9 février -  20h30
Samedi 10 février -  20h30

Mercredi 14 février -  20h30
Jeudi 15 février -  20h30

Vendredi 16 février -  20h30
Samedi 17 février -  20h30

 

 

 

durée : 3h
à partir de 16 ans

Plein tarif - 15 euros

Tarif réduit - 10 euros

(étudiants et demandeurs d'emploi)

Uniquement sur présentation d'un justificatif

avec  Solène Angeloni - Nicolas Guépin - Marine Demichel - Denis Fargeat - Arlo Doukhan

texte et mise en scène  Manuel Liminiana

assist. mise en scène  Tiffanie Deschamps

lumière  Lili Brik

maquillage  Mélanie Benetier
costumes  Marion Raulic

 cliquez ou envoyez un mail 

à resa@theatredeluchronie.fr

Une fresque théâtrale spectaculaire, épique et romantique dans un univers médiéval et fantastique !

 

Accrochez vous à vos accoudoirs, une histoire incroyable et un voyage sensationnel vous attendent au Théâtre de l'Uchronie. Un savoureux mélange de fantastique, d’épouvante et d'aventures, entre théâtre, danse, chant, combats d’épées pour voyager dans l’Hispaniola du 18è siècle à la rencontre de Virginia Victoria, une véritable héroïne romantique...

 

Dans l’Hispaniola du 18è siècle Virginia Victoria parcourt les terres à la recherche de son amoureux enlevé le jour de son mariage par Tamara Volovine, la comtesse au coeur de pierre d’étoile morte née.

 

 

Pour l’aider à trouver son aimé, Marius Cassus Athenaïs, dit Philétios se joint à sa vengeance. Ils parcourent alors les ténèbres du lac qui remplissait l’océan singulier pour retrouver la trace de celui qui était appelé à être aimé. Et après… C’est une autre histoire, il faudra demander à Abigaël et Jacob qui chaque soir racontent toujours un peu plus cette aventure aux convives du mekwanent Sándor Kéfíró…

 

 

Hélàs, si jamais cette histoire devait se terminer, si jamais elle venait à deplaire aux convives... Ils seraient destinés à l’échafaud, dans le dernier jardin sentier du Château Perpétuel.

 

Les voilà donc condamnés, comme leur héroïne, à se battre pour exister et espérer.

 

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