Helvetica Light est une police d'écriture claire, facile à lire. Les lettres sont étroites et hautes et s'adaptent à tous les types
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Le doppelganger, le mythe du double et la simultanéité
Dans son appartement, au début des années 40, une femme errante respire, coincée entre le réel et des souvenirs qui s’écoutent. Elle vit et habite ses quelques effets, accompagnée d’une radio qui lui raconte une existence où tout peut sembler illusion. Dans cet endroit perdu sur la terre américaine et loin de son pays allemand, tout a vaguement un gout de fumée... celle de cette grande guerre qui gronde, et celle des cabarets… où là aussi tout peut s’évaporer. Et pourtant, elle chante… ou peut être bien qu’elle ne fait
qu’imaginer et se souvenir.
La musique, les voix, et le bruit des avions se mêle à ses songes, comme autant de lueurs et de souvenirs sonores qui savent rassurer, ravir ou assombrir... toujours ambivalents. Accompagnée de ses "petites ombres", pour trouver cette petite musique qui l'aidera à se rappeler…
Les points de recherches de la pièce nous mènent vers le mythe du double et vers la construction des espaces et des situations entre segmentation et simultanéité. Le mythe du Doppelgänger est également une source dominante (le double fantomatique en allemand). Dans la pièce, nous utilisons cette référence et ce rapport à sa propre image à peine visible mais étrange, l’image elliptique, le rapport entre la notion du fantôme, la présence étrangère et ressentie et sa propre ombre.
Le fil rouge s’articule autour de la quête du souvenir sonore, notre personnage dans ses diverses réalités cherche et recherche des traces de son passé cristallisé dans des chansons et des airs perdus… entre son Allemagne d’origine et sa terre d’accueil, américaine. Les univers se croisent, s’entremêlent, s’accélèrent pour aboutir au basculement des réalités.
Les questions des origines et de l’identité ainsi que de la frontière (qu’elles soient symboliques ou géographiques) sont également au cœur de notre personnage.
DISTRIBUTION
avec Anais Vergez - Prunellia Maury - Laure Buathier
maquillage Mélanie Benetier
musique Philippe Gordiani coiffes Elsa Fontange
lumière Lili Brik
chorégraphie & mise en scène Susanne Simon
durée 55 min